Ce pourrait être l’histoire d’un vieil homme qui meurt d’un cancer, un soir, dans un hôpital de banlieue. Vous êtes priés de laisser la chambre libre, on a besoin du lit, merci. Ça pourrait raconter ça. Ça pourrait raconter une jeune femme qui se prendrait pour « l’intrépide rejeton d’un cow-boy rebelle rossé par le shérif à la sortie du saloon » (page 41), ou raconter l’alcoolisme d’un père et ses « dingueries ».
Une réflexion sur “Avant que j’oublie d’Anne Pauly”