« Au Kamtchatka les rivières parlent. Ce n’est pas seulement une formule poétique occidentale. Pour les gens avec lesquels je travaille dans la forêt de la région d’Itcha, les rivières parlent et répondent. Et l’on peut s’adresser à elle, leur adresser des prières, des requêtes. » [1]
3 réflexions sur “De rivières de Vanessa Bell”