Giono, furioso. Du bon usage de la virgule. Car ce n’est pas tant (ou seulement) le Giono retrouvé dans les mots ardents d’Emmanuelle Lambert qui est « furieux », ― cette fureur c’est l’avidité d’une lectrice, d’une écrivaine, la dévoration de l’œuvre et de la chair de l’œuvre, à savoir l’homme, celui qui se cache derrière son œuvre et son (trop) charmant sourire [1].