« ― je n’entends même pas la pluie ― je repose ma nuque sur mes lieux possibles de sommeil ― en gardant mon œil fou ― près de cette chaleur dans mes yeux ― vers qui et pour qui ― me parle en silence ― là où je confonds mes rêves pour me dire bonjour ― en œil cassé ― en gueule de bois de trop percer ― comme ça sans raison ― au milieu des têtes osseuses qui pensent encore et lisent des temps utiles ― encore dans mes rêves ― le rouge emplit toute ma chambre noire ― » (page 27)
Une réflexion sur “La Fautographe de Béatrice Mauri”