Dans son quatorzième livre, Arnaud Cathrine se représente lui-même avec son carnet et son stylo devant son modèle, comme un peintre s’identifiant à son rôle se représente devant un tableau avec ses pinceaux, sa palette et son chevalet. À la différence près qu’ici le modèle ignore qu’il est un modèle.
Une réflexion sur “J’entends des regards que vous croyez muets d’Arnaud Cathrine”