La Dévoration des fées est un conte, et comme dans tout conte il est question de la famille, la « trâlée généalogique de grand-mamans mères filles martyres, femmes à suer la race […] avec les trois enfants adoptés ― JJ père précoce et son ti-cul adoré, et le mongol qui compte pour moitié ―, et les deux siens orphelins de père, et avec la p’tite fuck ça fait six, avec Blanche c’eût été sept » (p. 48).
2 réflexions sur “La Dévoration des fées de Catherine Lalonde”